En el siglo XVII, un alto dignatario de Roma acude al convento de una pequeña ciudad polaca para exorcizar a la directora del mismo. (FILMAFFINITY)

Imperio Nuevo. Egipto se encuentra en una difícil coyuntura. Por una parte, los asirios amenazan con invadir el país y, por otra, el empobrecimiento del pueblo es cada vez mayor. Una vez proclamado faraón, el joven Ramsés XIII (faraón inexistente) decide poner remedio a esta situación sirviéndose de las riquezas de la casta sacerdotal, que concentra en sus manos el poder económico, religioso y, de hecho, también el político. Prueba de ello es que el faraón fue derrotado y sus reformas nunca se llevaron a cabo.

Relata la vida de una familia de la burguesía rural polaca desde 1863 a 1914.

Joseph se dirige a visitar a su padre moribundo en un tren donde tanto el paisaje a través de las ventanas como los pasajeros, en aparente trance, y el propio estado del vehículo conforman un escenario que escapa a la razón. Sensación que se mantiene tras la llegada al sanatorio en el que está ingresado su padre, pues la curiosa estructura del edificio unida a su decadencia extrema no se ajusta a las expectativas concebidas sobre instalaciones dedicadas al cuidado de la salud. Tampoco le tranquiliza la conversación con el médico que atiende a su padre. Los métodos que dice emplear se asemejan a las fantasías de un lunático.

D’après le roman de Stefan Żeromski, Histoire d’un Péché est le seul film de fiction polonais de Borowczyk. Grażyna Długołęcka, dont ce sont les débuts, joue le rôle de Ewa Pobratyńska, héroïne victime condamnée à l’avance dont la passion pour un étudiant en anthropologie l’emmène dans un voyage périlleux au travers d’une Europe du début du XXe siècle. Vision critique de l’hypocrisie de l’Eglise Catholique, Histoire d’un Péché compte comme le film le plus passionné de Borowczyk. Tourné presqu’entièrement à l’épaule par le maitre Zygmunt Samosiuk (qui fait une brève apparition avec Borowczyk en travesti), Histoire d’un Péché est accompagné magnifiquement par le concerto pour violon de Mendelssohn. Il a remporté un grand succès public et critique en Pologne et à l’étranger. Sélection Officielle au Festival de Cannes 1975.

Elevé au rang de peintre fétiche de la cour du roi Charles IV d'Espagne, Francisco de Goya jouit d'une excellente réputation. S'il a foi dans l'Eglise et la royauté, Goya est aussi un patriote d'origine modeste, attaché au peuple. Homme de contradictions, il nourrit une passion dévorante pour la duchesse Alba, tout en désapprouvant sa morgue aristocratique. Goya traduit ces états d'âme dans des oeuvres singulières, qui paraîtront plus tard d'une grande modernité. A mesure qu'avance son «apprentissage» politique, ses toiles perdent leurs couleurs chatoyantes pour aborder un univers plus sombre et plus radical, jusqu'à s'attirer les foudres du Grand Inquisiteur...

L'alchimiste Sendivius arrive à la cour du kniaź Fryderyk en prétendant qu'il est capable de transmuter le plomb en or. Le prince l'autorise à prouver ses dires, toutefois si l'expérience échoue, il subira la torture jusqu'à ce que mort s'en suive. Alors que Von Lotz lui fait visiter les cachots et lui montre les supplices qu'il subira en cas d'échec ou s'il réussit et refuse de dévoiler ses secrets au prince, il découvre que son maître Thomas Seton est emprisonné dans une cellule sordide et subit quotidiennement la torture...

En la Polonia medieval, los Caballeros Teutónicos cometen todo tipo de tropelías e infamias amparándose en la Santa Cruz, hasta que el Rey apoyado por su pueblo, les declara la guerra.