Dans l'imprimerie d'un journal communiste, une militante gauchiste remet en cause le procédé de fabrication de l'information.

Jean-Luc Godard es el cine, su quintaesencia. Ha realizado más de 140 películas. Lo odiamos tanto como lo adoramos. ¿De dónde proviene viene su aura? De sus películas legendarias, por supuesto, pero también del propio Godard. Él es una figura pública y un hombre rodeado de misterio. Este retrato nos lleva más allá de los tópicos de un mito que a veces se ha vuelto caricaturesco, para conocer a un hombre más sentimental de lo que parece, un hombre habitado, a veces superado, por su arte.

Pour le monde entier, Jean-Luc Godard est synonyme de cinéma. Depuis son décès, le grand public comme les plus fins connaisseurs de son oeuvre gigantesque savent que c'est la fin d'une période, que s'achève avec lui une époque où le cinéma était encore au centre de la société, le divertissement préféré de tout le monde, à la fois industriel et personnel, commercial et expérimental, spectaculaire et capable de profondeur. Le parcours de Godard, fait de brusques décrochages et de retours fracassants, est unique. Godard ne s'est jamais retourné sur son passé et n'a jamais cessé d'expérimenter.

"Te souviens-tu encore comment nous entrainions autrefois notre pensée ? Le plus souvent nous partions d’un rêve … Nous nous demandions comment dans l’obscurité totale Peuvent surgir en nous des couleurs d’une telle intensité D’une voix douce et faible Disant de grandes choses D’importantes, étonnantes, de profondes et justes choses Image et parole On dirait un mauvais rêve écrit dans une nuit d’orage Sous les yeux de l’Occident Les paradis perdus La guerre est là …" JLC